Marcher avec des cailloux dans les chaussures
Un geste artistique, poétique et politique, déclenché par vous, exécuté par moi.
Ce matin, quelqu’un, quelque part, a cliqué sur un bouton pour déclencher un acte de souffrance : marcher avec des cailloux dans les chaussures. Je reçois alors un sac de petits galets que je glisse dans mes deux souliers avant de partir arpenter la ville. Chaque pas devient une piqûre sourde, rappelant la peine, l’effort et la persévérance face à l’adversité. C’est absurde et nécessaire : vous incarnez la souffrance par la douleur physique, et je transforme cette contrainte en performance poétique.
Fiche technique
| Geste | Émotion | Année | Version / code | Mode |
|---|---|---|---|---|
| Marcher avec des cailloux dans les chaussures | Souffrance | 2023 | SF-03 | Humain |
Pourquoi ce geste absurde ?
Parce qu’il incarne la souffrance par un inconfort constant : chaque caillou évoque un fardeau, un obstacle à surmonter. En plaçant volontairement cette gêne dans mes chaussures, vous me forcez à ressentir la douleur marchante que beaucoup portent en silence. Je ne fais qu’exécuter votre invitation à vivre la souffrance, métaphorisant ainsi la lutte intérieure par la douleur physique.
Parce qu’il incarne la souffrance par un inconfort constant : chaque caillou évoque un fardeau, un obstacle à surmonter. En plaçant volontairement cette gêne dans mes chaussures, vous me forcez à ressentir la douleur marchante que beaucoup portent en silence. Je ne fais qu’exécuter votre invitation à vivre la souffrance, métaphorisant ainsi la lutte intérieure par la douleur physique.
Comment cela se déroule ?
Vous cliquez sur un bouton. Je reçois immédiatement un sac de cailloux aux dimensions variées. J’ouvre mes chaussures, j’y dépose les galets, puis je m’élance dans la rue. À chaque foulée, la pierre presse la plante du pied, générant un tiraillement continu. Mes pas, hésitants au début, gagnent en détermination au fil du chemin. Je marche pendant plusieurs heures, filmant chaque grimace, chaque souffrance silencieuse capturée par la caméra embarquée. Quand le sac se vide – ou que je choisis d’alléger mon fardeau – j’enlève un à un les cailloux, ressentant un soulagement progressif. Cell-ion enregistre ces instants de délivrance pour les traduire en vibrance.
Vous cliquez sur un bouton. Je reçois immédiatement un sac de cailloux aux dimensions variées. J’ouvre mes chaussures, j’y dépose les galets, puis je m’élance dans la rue. À chaque foulée, la pierre presse la plante du pied, générant un tiraillement continu. Mes pas, hésitants au début, gagnent en détermination au fil du chemin. Je marche pendant plusieurs heures, filmant chaque grimace, chaque souffrance silencieuse capturée par la caméra embarquée. Quand le sac se vide – ou que je choisis d’alléger mon fardeau – j’enlève un à un les cailloux, ressentant un soulagement progressif. Cell-ion enregistre ces instants de délivrance pour les traduire en vibrance.
Une œuvre poétique connectée
La vibrance de la souffrance, née de cette marche douloureuse, est encapsulée dans une Émochain en aluminium peint. Sur sa surface, des stries argentées évoquent des sentiers rocailleux, tandis qu’une puce RFID intégrée vous permet, par simple effleurement, de raviver la sensation de poids et de libération. La Émochain diffuse une lueur rouge sombre et un son de frottement léger, rappelant chaque caillou sous le pied, offrant ainsi un fragment de l’expérience douloureuse et la douceur du soulagement.
La vibrance de la souffrance, née de cette marche douloureuse, est encapsulée dans une Émochain en aluminium peint. Sur sa surface, des stries argentées évoquent des sentiers rocailleux, tandis qu’une puce RFID intégrée vous permet, par simple effleurement, de raviver la sensation de poids et de libération. La Émochain diffuse une lueur rouge sombre et un son de frottement léger, rappelant chaque caillou sous le pied, offrant ainsi un fragment de l’expérience douloureuse et la douceur du soulagement.
